Commentant le thème de la sécurité sociale, nous avons convenu que la meilleure «retraite», c’est la vigueur et la santé tout au long de la vie. Mais comment les obtenir ? Que nous propose le postindustriel ?
Nous avons déjà eu la possibilité de nous en convaincre : si tu veux voir l'avenir - consulte l’avant-hier.
3. Réseau de demos hiérarchique, dynamique, libre – Etat-communauté spirituelle économique globale,
4. Culte de l'honnêteté, de la transparence et de la véracité dans toutes les sphères de la vie - de la science et l'économie aux relations humaines,
5. Sécurité sociale: enfants, famille, amis, communautés territoriales, entreprises, corporations spirituelles, monastères, devise forte.
Le système de santé postindustriel naît sous nos yeux et confirme cette règle.
A L’EPOQUE PREINDUSTRIELLE l’homme était auto-suffisant en toutes choses, surtout dans les questions touchant à sa santé. Le meilleur connaisseur de son corps est son propriétaire, c’est pourquoi l'homme était son propre guérisseur.
Il était considéré comme évident que la maladie est le résultat de pensées, paroles et actions incorrectes, c’est pourquoi le principal garant de la santé était une vie correcte. Dans le vocabulaire actuel, la médecine était, à 99%, préventive. Les restes de ces connaissances furent ensuite inscrits dans d’épais livres de médecine populaire. Et l'intérêt pour ces derniers s’accroît toujours davantage.
Les anciens savaient généralement bien ce qu'il fallait faire face à certaines maladies ou blessures. S’ils n’y faisaient pas face seuls, ils consultaient les guérisseurs. La plupart des traitements portaient un caractère informationnel. Le guérisseur commençait toujours par rechercher les causes profondes de la maladie : une vision du monde erronée, des pensées ou des émotions négatives, des actes nuisibles. « On ne peut pas traiter le corps sans traiter l'âme », disait Socrate. Les moyens efficaces pour rétablir la santé étaient, par exemple, les prières, les rituels, la phytothérapie, les traitements physiques, etc.
Si nécessaire, en dernier recours, on utilisait la chirurgie. Les opérations étaient très compliquées, en particulier dans le cerveau (par craniotomie) et pour les organes de la cavité abdominale.
Deux mille ans avant notre ère, l’un des principes de la médecine ancienne iranienne affirmait : « Le médecin possède trois instruments : la parole, la plante et le couteau ». On attribue à Hippocrate ce précepte : « Si il y a plusieurs médecins, l’un desquels soigne par les plantes, le deuxième – avec un couteau, et le troisième – par la parole, il est préférable de se tourner vers celui qui soigne par la parole ».
L’INDUSTRIEL A PLEINEMENT OBJECTÉ CET ÉTAT DE FAIT. Si, auparavant, l'homme était considéré comme un être global - avec son esprit, son âme et son corps -, à l’époque du « grand convoyeur », l’homme a commencé à être perçu comme une machine. Ainsi, lorsqu’à l’intérieur quelque chose ne fonctionne pas, il faut lubrifier les pièces détachées (donner un comprimé), et lorsque les pièces sont endommagées, il faut les remplacer (transplanter les organes). La pharmacie et la chirurgie sont devenues les principaux moyens de traitement. Si jamais le médecin d’aujourd’hui se mettait à interroger le patient sur sa vision du monde, on considèrera qu’il a perdu la raison, ou qu’il manigance quelque chose de suspect.
Dans les temps anciens, l’homme était considéré comme la création parfaite du Divin, capable d’auto-récupération. Du point de vue de la médecine industrielle, l’homme est une créature faible, défectueuse, qui ne peut exister que grâce à une intervention extérieure. Il est souhaitable d'enlever « les organes superflus» (appendice, glandes adénoïdes), corriger les imperfections naturelles de l’organisme par des vaccinations, et compenser tout le reste par des comprimés.
Principale conséquence: inefficacité de la médecine industrielle. La grande majorité des personnes souffrent de maladies chroniques, et pourtant la médecine industrielle ne les guérit pas - et ne cache pas ce fait. Et tout cela, parce qu’elle combat les effets sans s’attaquer aux raisons.
La situation se complique par le fait que la médecine industrielle agit selon les règles du business. Notamment, elle s’applique à étendre son marché, c’est-à-dire à augmenter le nombre d’acheteurs de ses produits et services. Les principaux instruments de l’expansion de son marché - la vaccination et les préparations pharmaceutiques nuisibles, y compris les « vitamines ».
Le domaine médical est l'un des plus corrompus en Ukraine et dans le monde. Il ne fonctionne pas pour l’amélioration de la santé, mais à saper la santé et à propager la maladie. Cela explique cette particularité «étrange»: quand les médecins font grève, la mortalité baisse brusquement.
LE POSTINDUSTRIEL A UNE DÉMARCHE INVERSE. « L’objection de l’objecté » ravive l’approche holistique et les principes préventifs du système préindustriel de la santé. Presque toutes les maladies peuvent être guéries par la restauration d’un raisonnement juste, et, parallèlement, par l’assainissement de la psyché, la transition vers une alimentation saine, l'activité physique, et un mode de vie approprié.
Un exemple frappant de la super-efficacité de la médecine post-industrielle est le système d'auto-guérison « Parole vivante » du médecin et philosophe ukrainien réputé Oleksander Filatovych. Les textes curatifs universels qu’il a créés sont distribués gratuitement, et créent des miracles, surtout lors d’une approche complexe de l’auto-guérison.
Comme il y a sept mille ans, lorsque naissait l’Europe néolithique, reviennent au premier plan les facteurs de santé tels que la langue pure, les relations harmonieuses avec les proches, l’attitude bienveillante et responsable envers l'environnement. Se réactualisent les questions de la religion efficace, des prières, des rituels, de l'honnêteté, de la vie vertueuse.
La régularité des occurrences décrite ci-dessus permet de prévoir de manière fiable le sort du système industriel « de santé » : pendant quelques années, il sera radicalement reformaté. 90% de ses institutions et de ses productions seront éliminés à cause de sa corruption, de sa bêtise, de son inefficacité et de sa nuisance à la santé de l’homme et de la nature. Connaîtront le développement la prévention, l'hygiène, les urgences, la stomatologie, et quelques autres orientations utiles.
La médecine industrielle, tout comme le système de sécurité sociale, vise à soutenir et à encourager les malades. Le système de santé postindustriel sera orienté vers le soutien et l’encouragement des personnes en bonne santé. C’est qu’il existe une loi naturelle : TU OBTIENS CE QUE TU SOUTIENS.
En conclusion, nous pouvons formuler la sixième caractéristique de la formation postindustrielle :
6. Protection de la santé : approche holistique, médecine préventive, encouragement au mode de vie sain, liquidation des processus parasitiques.
À suivre ...
(traduction de l’ukrainien : Zirka Witochynska)
Commentaires
Merci, mes amis, pour vos dons!
Ces traductions m'offrent une bonne détente et m'apportent une véritable joie.
Творимо разом Вільну Українську Державу Гартленд !
C'est à toi qu'il faut dire "MERCI". Bravo!
Світлана